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Dans les sous-bois à proximité de Grenoble, la cueillette de l’ail des ours (photo) a commencé. Plante sauvage, cet ail est surtout cueilli avant sa floraison pour ses feuilles très parfumées utilisées comme condiment.
De nombreuses plantes sauvages poussent aussi en ville, si elles ne sont pas fauchées par les services municipaux des espaces verts. Il est déconseillé de les consommer à cause de la pollution urbaine ; mais pourquoi ne pas, ce printemps, essayer d’apprendre à les identifier ?
Pendant le confinement du printemps 2020, elles ont pu pousser librement. A Grenoble, une biologiste et botaniste spécialiste des plantes sauvages a alors commencé à les repérer et a ensuite publié sur son Site Internet de courts articles sur chacune d’elles : petite pimprenelle, mauve sylvestre, nielle des blés, chélidoine, achillée millefeuille, cymbalaire des murailles, et d’autres encore.
Retrouvez ces articles : ici.

Si vous souhaitez découvrir et mieux connaître toutes les espèces végétales sauvages de l’Isère, dans les espaces naturels et en milieu urbain, il existe une association botanique ouverte aux amateurs : Gentiana. Elle propose une adhésion à 10 euros pour personnes à « petit budget ».